Date - 22/03/2013
11:00 - 18:30
Dans le cadre du meeting du SQEK qui se tiendra à Paris du 20 au 24 mars, le Transfo présente, pour la journée du 22 mars:
11h:
Présentation du Transfo.
13h:
- “Le squat comme alternative au capitalisme” (Hans).
- “La criminalisation du squat en Angleterre et aux Pays-Bas” (Edward et Deanna).
- “Répondre aux expulsions: Liebig 14 (Berlin)” (Lucrèce).
- “Occupations illégales à Buenos Aires: hétérotopie” (Harry).
NB: Les discussions auront lieu en anglais et en français (avec traductions dans les deux sens).
Le Transfo
57 avenue de la république, Bagnolet (métro 3 Gallieni ou 9 Robespierre)
Meeting du Squatting Europe Kollective (SQEK) Paris 20-24 mars 2013
Squatting Europe Kollective est un réseau transnational d’activistes et d’activistes-chercheurs réunit par la même volonté de réfléchir à des problématiques spécifiques rencontrées par les mouvements squats de nos différents pays (criminalisation/négociation/institutionnalisation, histoire et situation actuelle des mouvements dans chaque pays, genre, rapport individu/collectif, squat urbain/squat rural, etc.).
Activistes et activistes-chercheurs apportent leurs compétences particulières dans la volonté de supprimer la rupture entre des recherches de plus en plus soumises à une libéralisation massive et l’engagement politique dont nous nous réclamons. Indépendant de toute université, agence étatique, ONG, association ou compagnie privée, ce collectif autogéré a donc entre autre pour but de lutter contre l’attaque néo-libérale du savoir et entend promouvoir le partage des connaissances et des méthodes de réflexion par et pour les activistes.
Initié en 2009 par Miguel Martinez du Centro Social Casablanca de Madrid (expulsé en 2012), le réseau représenté par une mailing-list permet la création permanente de collectifs dont les buts sont fixés horizontalement et par consensus durant les rencontres en face-à-face, préparées par les débats lancés sur la mailing-list. Notre activité principale consiste à se réunir deux ou trois fois par an dans des villes différentes ou des membres du collectif organisent plusieurs jours de rencontres et de débats avec les squatteurs locaux. Les meetings permettent notamment aux individus de différents pays d’échanger et de lancer des initiatives de réflexions ou d’actions (par exemple des soutiens transnationaux) dans ou en dehors du réseau.